Les choix technologiques que nous faisons ne sont pas neutres : ils ont des impacts majeurs sur le monde dans lequel nous vivons. La démarche Low-Tech consiste à privilégier le juste niveau technologique dans un esprit de soutenabilité socio-écologique.

Pourquoi s’interroger sur le niveau technologique de ce que nous créons ?

Notre rapport à la technologie

Tout d’abord, le rapport à la technologie nous concerne tous. Nous sommes entourés d’objets créés pour satisfaire un certain nombre de nos besoins. D’une certaine manière, cela fait partie de notre quotidien. Et nous pouvons tous en mesurer l’évolution, les bénéfices, mais aussi les problèmes.

Le progrès technique est poussé par tout un éco-système : les entreprises, le soutien à l’innovation et la recherche. Or la plupart du temps, l’Homme ne manifeste pas par lui-même l’envie de plus de technologie. Il tente autant que possible de suivre la tendance qui, il faut bien l’avouer, va de plus en plus vite.

L’évolution technologique

Cette infographie proposée par Statista montre l’accélération de diffusion des innovations. Nous pourrions ajouter à cette liste ChatGPT qui a mis moins de 2 mois pour atteindre 50 millions d’utilisateurs.

Désormais, l’évolution va plus vite que notre capacité à l’intégrer. Ce qui peut devenir un problème si on ne souhaite pas se laisser dépasser par les évènements. Face à cette vitesse, certains d’entre nous ressentent parfois l’envie que cette évolution ralentisse un peu. Quand la pression de la technique est trop forte – ou que la dépendance devient palpable – on rêve parfois de s’en libérer.

Les impacts de l’évolution technologique

Ce qui est valable pour un individu l’est aussi pour une entreprise, une collectivité, un pays. Cette course technologique a des impacts à tous les niveaux. C’est le syndrome de la reine rouge décrit dans l’évolution des espèces : si on n’avance pas, on recule, car les autres eux avancent. On s’inscrit ainsi, sans même s’en rendre compte, dans une course en avant technologique.

Pour autant, les impacts sur l’environnement, le climat, la disponibilité des ressources et la société ne sont pas neutres, loin de là. En considérant la situation dans son ensemble, chaque nouvelle technologie apporte de nouvelles solutions et en même temps de nouveaux problèmes.

Comment réagir face à cette évolution ? 

Doit-on accepter l’idée que le coup est parti et que l’évolution devient incontrôlable ? En d’autres termes, la technologie engendre l’évolution technologique ?

Ou doit-on se dire, dans une vision plus positive que la régulation – ou le bon sens – nous conduira à arbitrer avec discernement du niveau technologique souhaitable ? La juste technologie pour un usage donné : c’est sur cette idée que s’appuie la démarche Low-Tech.

Qu’est-ce que le mouvement Low-Tech ?

Le juste niveau technologique

Le mouvement Low-Tech vise à proposer la technologie la plus basse possible pour répondre à un usage donné en évitant ainsi toute sophistication inutile. Que les choses soient claires, il ne s’agit pas de refuser la technologie, mais d’ajuster le niveau technologique par rapport au besoin et au contexte. En cela, la démarche est assez proche de l’innovation frugale.

L’idée étant également de se remettre en conformité avec les limites planétaires. C’est-à-dire de ne pas consommer davantage d’énergie, de matériaux et de ressources que ce que la Terre peut durablement fournir.

D’où vient le mouvement Low-Tech

Ce mouvement Low-Tech est né dans les années 70 aux états unis au moment où les high-techs (hautes technologies) ont commencé à envahir les maisons. Mais il faut bien reconnaître qu’il n’a pas eu un gros écho à l’époque. La société de consommation était en plein boom. 

En revanche, depuis le début des années 2000, avec le contexte économique, social et climatique dégradé, les Low-Techs connaissent un regain d’intérêt. 

9 axes pour définir et appliquer la démarche Low-Tech

Arthur Keller et Emilien Bournigal ont proposé une définition de la démarche Low-Tech autour de 3 grands axes et déclinée en 9 points :

  • Durabilité forte : Sobriété + Efficience + Pérennité
  • Résilience collective : Maintenabilité + Accessibilité + Autonomisation
  • Transformation culturelle : Empouvoirement + Reliance + Simplification

C’est cette structuration que je vous propose de suivre pour aller plus loin.

1.     Sobriété

L’idée est de chercher à se recentrer sur l’essentiel et tendre vers un optimum technologique. D’une certaine manière, cela revient à viser la plus basse intensité et plus grande simplicité technologique permettant d’assurer les besoins avec un haut niveau de fiabilité. Cela implique de commencer à challenger les besoins d’usage

Imaginez un réfrigérateur futuriste avec trois caméras intégrées. Chaque fois que vous fermez la porte, ces caméras prennent instantanément des clichés de tout ce qui se trouve à l’intérieur. Le but ? Vous permettre de vérifier à distance ce qui manque avant de faire vos courses. Cela semble incroyablement pratique, n’est-ce pas ? Mais est-ce réellement indispensable ? Si l’on y réfléchit attentivement, bon nombre de ces fonctionnalités ne sont souvent que des gadgets plutôt que de véritables nécessités.

Questions à vous poser :

  • Quel est le besoin d’usage principal auquel mon produit doit répondre ?
  • Est-ce que les autres besoins exprimés sont essentiels ?

2.     Efficience

Cela se traduit par le fait de minimiser la consommation d’énergie des ressources, depuis l’extraction des matières premières jusqu’à la fin de vie en passant par la production, la distribution et l’utilisation. La technologie n’est pas forcément un miracle, car il faut regarder l’ensemble du processus : l’impact environnemental, sociologique et la disponibilité des ressources. Faire évoluer un produit vers son idéalité est une préoccupation responsable.

Plongeons dans l’univers énergétique du souffleur de feuilles. Lorsqu’il s’agit de déplacer une simple feuille morte, cet engin affiche un rendement qui frôle les abysses. Ce phénomène résulte de pertes qui s’accumulent à divers paliers : depuis le moteur jusqu’à sa transmission, en passant par l’hélice, la résistance générée par le flux d’air, jusqu’à la tâche finale de propulsion de la feuille en exploitant ce même flux d’air. Malgré l’aspect ultra-pratique de l’engin pour l’utilisateur, la réalité est que le souffleur de feuilles engloutit une quantité considérable d’énergie pour le résultat produit.

Questions à vous poser :

  • Quelle énergie utilise mon système pour fonctionner et comment est-elle convertie pour fournir le travail final ?
  • Existe-t-il une technologie avec un meilleur rendement énergétique ?
  • Quelles ressources peut-on minimiser dans la conception et l’usage du produit ?

3.     Pérennité

Dans une logique de coût de production et de rentabilité, nos produits durent de moins en moins longtemps et surchargent nos poubelles. Aujourd’hui, la durée de vie de nos produits est limitée soit par manque de fiabilité ou par obsolescence programmée.

Prenez par exemple les réfrigérateurs des années 60. Ils tenaient bon pendant près de 50 ans avant de jeter l’éponge en cas de pépin. Mais aujourd’hui, même avec toutes ces avancées technologiques, la durée de vie de nos chers appareils électroménagers a fondu comme neige au soleil : en moyenne, un frigo fait de la résistance pendant environ 12 ans, tandis qu’un lave-linge tient le coup pendant à peu près 10 ans seulement. 🌐🕒

Questions à vous poser :

  • Quels sont les points faibles principaux de mon produit limitant sa durée de vie (AMDEC, simulations, tests, retours clients, etc.) ? 
  • Existe-t-il une technologie simple et robuste permettant de résoudre chacun de ces problèmes durablement ?

4.     Maintenabilité

Pour qu’un produit soit durable, il faut aussi pouvoir assurer sa maintenabilité. Faire en sorte qu’il soit entretenu et réparé par les utilisateurs eux-mêmes autant que possible, avec des pièces et matériaux standards. C’est un changement de paradigme pour nos industriels, mais aussi une culture technique à se réapproprier, car l’idée de réparer n’est plus un réflexe pour le consommateur. Cela dit, même en faisant des efforts, ce n’est pas toujours facile.

Pour réparer un appareil comme une télévision qui a subi une surcharge de courant, il suffisait avant de changer le fusible intégré au produit. Désormais les fusibles, pour des raisons de coûts, sont intégrés aux cartes électroniques et il devient très difficile de changer ce petit composant qui ne coûte deux fois rien. Et lorsque la carte électronique n’est plus disponible à la vente, vous être contraint de jeter votre appareil qui vous a coûté 200 euros pour un composant grillé qui vaut 2 seulement centimes. 

Questions à vous poser :

  • Quelles sont les parties de mon produit pouvant nécessiter une maintenance ?
  • Existe-t-il une solution pour que l’usager puisse entretenir et réparer le système par lui-même (Diagnostic, disponibilité composant, tutoriel, etc.) ?

5.     Accessibilité

Pour un produit ou un service, ce point concerne sa simplicité d’utilisation. Force est de constater que tous les produits ne sont pas simples à utiliser et parfois nécessitent un effort de mise en œuvre important et un certain temps d’apprentissage.

J’ai eu l’occasion récemment de m’intéresser à une étude sur l’évolution de la tenue d’un soldat, plus précisément du fantassin. Il ressort qu’au fil du temps sa tenue – pour plein de bonnes raisons – est devenue de plus en plus high tech. Cette numérisation du soldat a eu tendance à en augmenter le poids, notamment avec les batteries. Au total, l’équipement du fantassin de l’armée française appelé FÉLIN ajoute environ 5kg à l’équipement. On arrive tout même à 40kg pour la panoplie totale, ça commence à faire beaucoup… Mais ce qui est surtout notable dans cette étude est que les soldats reprochent à la technologie de complexifier la prise en main du matériel. Ce qui devient un problème lorsque le niveau de stress est maximal sur un théâtre d’opérations. Parfois un bon vieux bouton est préférable à un iPad. 

Questions à vous poser :

  • Quelles sont les étapes sur lesquelles l’utilisateur éprouve des difficultés (mise en œuvre et usage) ?
  • Existe-t-il une solution simple pour que l’usager puisse opérer en toute autonomie (processus, contrôle, etc.) ?

6.     Autonomisation

Avec les évolutions technologiques et la mondialisation, l’air de rien, on a créé des flux planétaires complexes et pas mal de dépendances. Or, on se rend bien compte qu’il est souhaitable de fabriquer à partir de ressources exploitées et transformées le plus localement possible. Pour des raisons écologiques évidentes, mais aussi pour tendre vers cette autonomie et favoriser cette résilience collective.

Lorsqu’un agriculteur français est dépendant d’engrais chimique azoté dont le cours est très perturbé avec la situation de la guerre en Ukraine : la situation devient difficilement tenable. Le prix a été multiplié par 5 en passant de 200 à 1000€ la tonne en 2 ans. Une dépendance anodine lorsque tout va bien, devient problématique lorsque des tensions apparaissent. 

Questions à vous poser :

  • Quelles sont les parties de mon système dépendant de ressources lointaines ?
  • Existe-t-il une solution alternative locale ?

7.     Empouvoirement

Pour que la technologie confère du pouvoir aux citoyens et aux territoires, il est important d’en faciliter l’appropriation par le plus grand nombre. Lorsque la technologie devient trop complexe ou trop coûteuse, bon nombre de personnes perdent ce pouvoir ou n’y ont plus accès tout simplement. 

Les investissements dans la voiture autonome doivent nous questionner sur ce point. Certains dispositifs embarqués comportent pas moins de quatre ou cinq caméras, huit lidars, plusieurs radars longue portée, un ordinateur central de grande puissance, une caméra trifocale sur le pare-brise et d’autres capteurs … sans parler de la gestion des datas et les infrastructures routières à adapter. Selon le PDG d’Intel, chacun de ces véhicules produira autant de données que 3.000 utilisateurs d’internet. Bref, pour dire les choses simplement : est-ce que tout le monde va pouvoir se payer tout ça et donc en profiter ?

Questions à vous poser :

  • Est-ce que la technologie utilisée est accessible à tous d’un point de vue économique ?
  • Existe-t-il une solution moins coûteuse répondant au besoin principal de l’usager ?

8.     Reliance

La technologie doit rester au service de l’humain et permettre de relier les gens. Elle doit favoriser le partage de savoirs et de savoir-faire, la coopération, la solidarité, la cohésion sociale et les liens entre collectivités. 

À l’UTBM – Université de Technologie de Belfort-Montbéliard, j’ai la chance de travailler au sein de l’Innovation Crunch Lab. C’est un lieu atypique ouvert à tous où nous proposons l’accès à des technologies simples et libres d’accès pour réaliser des projets. Cette accessibilité de la technologie donne envie à de plus en plus de personnes de s’y mettre et de partager des projets avec d’autres. De plus, le mouvement Makers facilite l’usage des communs (logiciel libre, plan 3D, tuto, etc.). Lorsque la technologie relie les gens et les fait progresser, la société y gagne quelque chose.

Questions à vous poser :

  • Est-ce que la description de mon système est suffisamment accessible pour permettre aux usagers de s’en emparer ?
  • Quels sont les groupes d’usagers de mon produit et comment me connecter à eux pour coopérer ?

9.     Simplification

La somme de tous les points que nous venons de voir tend vers une forme de simplification. Décomplexifier la société aux niveaux socio-économique et organisationnel à partir d’une réflexion sur les besoins et les vulnérabilités est un vrai projet de société. La technologie n’est pas une fin en soi et doit rester un moyen le plus simple possible pour satisfaire un besoin d’usage en évitant les fonctions superflues : c’est l’esprit Low-Tech.

L’exemple de l’évolution de la télévision est intéressant, car dans le laps de temps où nous sommes passés de la TV analogique à la solution numérique pour répondre à plus de besoins du point de vue de l’utilisateur, on a en même temps :

  • Divisé la durée de vie du téléviseur par 3 en passant de 20-25 ans à 7-8 ans : rien que ça !
  • Construit des serveurs énergivores pour gérer la bande passante de la vidéo à la demande
  • Ajouté une box d’accès à internet et un décodeur avec une obsolescence très rapide
  • Mis en place un système d’abonnement payant devant la norme pour bon nombre d’usagers

Au final, la réponse technique aux besoins des utilisateurs se traduit par une complexité et un coût importants.

Questions à vous poser :

  • Quel est le niveau de complexité de mon système ?
  • Existe-t-il une solution technologique plus simple pour répondre aux besoins ?

Comment favoriser l’usage des Low-Techs ?

Partager la connaissance

Tout d’abord, il faut développer les communs : la connaissance et les droits accessibles à tous. Dans l’état d’esprit, cela revient à passer de la compétition à la coopération.

C’est le chemin qu’a choisi Bertrand Picard, psychiatre et explorateur suisse, pour aborder son projet Solar Impulse. A travers sa fondation, il propose plus de 1000 solutions Low-Tech prêtes à l’emploi pour répondre à la crise environnementale. C’est une mine d’or pour celui qui souhaite accéder à de nouvelles solutions prêtes à l’emploi.

https://solarimpulse.com/solutions-explorer

Les communs et la mutualisation des ressources facilitent l’appropriation de la technologie par les citoyens. Ils peuvent ainsi être eux-mêmes acteurs dans la cité. Car tout le monde n’a pas une culture technique et un atelier pour bricoler. Heureusement, aujourd’hui de nombreux lieux favorisent ces échanges dans les milieux associatifs, les Fab Labs. C’est une très bonne chose pour développer notre ingéniosité en privilégiant la culture du faire. 

De nombreux sites inspirants partagent des idées accessibles à tous.

https://www.pinterest.fr/search/pins/?q=low-tech&rs=typed

https://wiki.lowtechlab.org/wiki/Accueil

https://www.instructables.com

Challenger les usages

Il est essentiel de s’interroger sur les besoins d’usage et de les challenger avant de proposer une solution. C’est la première étape de la sobriété. Mais ce n’est pas simple, car nous sommes programmés pour satisfaire nos désirs court terme. Et malheureusement, ils ne vont pas toujours dans le bon sens au niveau environnemental et sociétal. Pour cela, la réflexion de l’ingénieur ne doit pas seulement être le comment ? Mais aussi le pourquoi 

Chercher à comprendre les besoins des utilisateurs et quelles solutions pourraient y répondre est tout aussi important et complémentaire que de la recherche technologique. Tout besoin devrait être jugé au regard des moyens mis en œuvre pour y répondre.

A-t-on besoin de 16 millions de pixels sur l’appareil photo de notre smartphone, d’un véhicule de 2 tonnes pour transporter une personne qui pèse moins de 80 kg ou de 24 modes sur notre machine à laver le linge ou notre four ? Tout ça doit nous questionner en tant que concepteur, mais aussi en tant que consommateur !

Changer notre référentiel face au désir

Changer notre référentiel sur ce qui est désirable ou non est un point essentiel pour favoriser l’usage des Low-Techs. Il y a un vrai travail à faire par les artistes, les sociologues, les politiques : des gens qui savent s’exprimer pour changer notre état d’esprit et notre imaginaire.

Le fait d’envoyer des touristes dans l’espace est relayé par les médias comme étant quelque chose de fantastique. Beaucoup trouvent ça fun et aimeraient bien vivre cette expérience. Et d’un autre côté, quand on imagine le coût environnemental on devrait plutôt trouver ça nul et ringard. Notre référentiel doit changer !

Diffuser la démarche Low-Tech

On voit bien qu’il existe de nombreux chantiers à mener. D’une part les écoles vont devoir intégrer cette démarche Low-Tech dans leurs enseignements. Et d’autre part les entreprises vont devoir faire preuve de plus de conviction sur le sujet en passant à une autre échelle.

DECATHLON s’empare de ce sujet à travers le développement de nouveaux produit, mais aussi en proposant à des écoles de participer à un concours d’innovation Low-Tech via leur site de co-création. Le défi proposé par la marque Quechua est d’imaginer des solutions originales à des problématiques rencontrées avant, pendant ou après la pratique de la randonnée pédestre. Une belle initiative pour valoriser la culture low-tech et révéler les talents de demain ! Défi relevé par les étudiants de l’UTBM !

Et maintenant ?

Vous l’aurez compris, innover malin dans une démarche Low-Tech est davantage un état d’esprit qu’une méthode à proprement parlé. En guise de conclusion, je partage avec vous quelques recommandations à garder en tête pour favoriser l’usage des Low-Techs :

  • Rester curieux et vous inspirer de ce qui existe déjà pour ne pas réinventer la roue en plus compliquée …
  • Entretenir la culture du doute, pour ne pas accepter n’importe quoi et se protéger des fausses bonnes idées. Surtout celles qui vous qui tendent vers une sophistication non nécessaire.
  • Développer une posture d’innovation en gardant un certain discernement, pour mieux comprendre les besoins et y répondre au plus juste.
  • Chercher à faire simple
  • Avoir une réflexion sur le temps long, pour ne pas se précipiter dans une direction sans prise de recul.
  • Prendre conscience que la technologie est bonne et mauvaise à la fois. C’est la manière de l’utiliser qui dépend de nous.

Voilà, c’est la fin de cet article. Si vous avez trouvé le contenu intéressant, n’hésitez pas à poster vos commentaires ou vos questions en bas de cette page, et à le partager avec vos amis ou vos collègues si vous pensez que ça pourrait leur être utile ! 🙂

    1 réponse pour "Comment innover dans un esprit Low-Tech"

    • Abdallah

      Bonjour, très bon sujet. Ca réveille et éveille l’esprit créatif à mieux distinguer tout ce qui est entre la technologie et nos besoins pour le monde d’aujourd’hui et de demain. Cordialement

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